Psycho-généalogie, psychothérapies, thérapies psychocorporelles, vies antérieures…
- De l’usage de ces pratiques.
La première question à se poser, c’est : pourquoi avoir recours à une ou plusieurs de ces pratiques ?
Est-ce parce qu’on se sent mal ? Parce qu’on a du mal à donner un sens à sa vie ? Parce qu’on est malade ? Parce qu’on est confronté à un accident de vie ? Parce qu’on a envie de mieux se connaître ? Ou encore, au sens du « Connais-toi toi-même » Socratique, parce qu’on veut aller plus loin dans une recherche spirituelle ?
La deuxième question, c’est : que suis-je prêt(e) à investir dans ma pratique ?
Un engagement équivalent à l’achat d’une boîte de Doliprane (pub gratuite) ?Le résultat aura la durée d’effet du comprimé… Ou bien une décision vraiment profondément mûrie ? En face de laquelle on mettra les moyens nécessaires, matériels, mais aussi et surtout dans l’acceptation des aléas de tout voyage. Certains passages pourront être inconfortables.
La troisième question est celle de l’âge qu’on a.
Avec le recul de mon expérience, j’aurais tendance à dire, à toutes les exceptions près, que les psychothérapies s’adaptent avec succès à tous les âges. L’âge adulte venu, chronologiquement, peuvent être indiquées les thérapies psychocorporelles, puis la psycho-généalogie et les vies antérieures. Ces trois dernières familles pouvant accompagner chacun tout au long de la vie, selon les besoins.
La quatrième question est celle du choix du thérapeute, qu’il soit bardé de diplômes universitaires ou autodidacte.
Ces approches ont toutes en commun une chose essentielle, à ne JAMAIS oublier : Dans tous les cas de figure, vous allez créer pour un moment une relation avec une personne.
C’est un élément fondamental et irremplaçable, car c’est cette relation qui sera à la base de la mise à distance du sujet, condition sine qua non pour s’en extraire.
C’est une relation un peu particulière, puisque vous la sollicitez pour recevoir une aide, parce que vous êtes fragilisé. Particulière aussi parce qu’elle est balisée par un cadre. Mais qui doit a minima vous donner un sentiment de sécurité. Celui-ci absent, cela n’aurait absolument aucun sens de vous engager dans une relation que vous ne « sentez pas », quel que soit le pédigrée de votre interlocuteur(trice).
Fiez-vous à votre première impression, sachez changer si la personne ne vous convient pas. Tout en étant conscient(e) que si vous essayez 50 praticiens pour trouver le bon, c’est probablement vous qui avez un problème à résoudre… 🙂
- Que vont m’apporter ces pratiques, qu’est-ce que je peux en attendre ?
Je ne vais pas m’étendre sur les psychothérapies, la littérature abonde sur le sujet, les spécialités sont très nombreuses, bien classifiées (parfois trop). Certaines en particulier pour les enfants et adolescents sont prises en charge par le système de santé. Elles sont souvent efficaces si le problème est bien identifié et le praticien compétent.
Leur point faible réside dans le fait qu’elles n’abordent qu’à la marge le corps. Si elles prennent en compte les symptômes de celui-ci, voire tentent de les réduire par des drogues, elles le mettent rarement en jeu.
Ce point faible se mue, in fine, en limite.
Les thérapies psychocorporelles relèvent d’une approche plus globale, voire holistique, de la personne humaine. Elles postulent qu’il est puissant et efficace d’allier une approche psychologique classique (entretiens) avec des thérapies manuelles allant du massage à l’ostéopathie(…) en passant par des soins énergétiques. C’est le dialogue qui se crée entre le discours et le soma (les manifestations corporelles) qui va nourrir les prises de conscience, activer et faire remonter les mémoires. Peu à peu les dissonances entre les mots du discours et les maux du corps vont se réduire, entraînant apaisement et recouvrement du bien-être.
Mais parce qu’elles peuvent questionner profondément l’image que l’on s’est construit de soi-même, elles s’adressent aux personnes prêtes à cette remise en question. Et sauf cas particulier, à des adultes.
Une fois ce mieux ou bien-être rétabli, peuvent subsister des problématiques identifiées relevant d’approches complémentaires. Parmi celles-ci, la psycho-généalogie, dont les médias s’emparent désormais pour faire le buzz… et… du fric.
Elle permet d’explorer les conditionnements inconscients véhiculés par notre clan familial. Souvent étudiée pour ses aspects toxiques et inhibiteurs, elle néglige à tort les capacités que ce clan nous a léguées.
Une pratique ancienne est bien connue, la réalisation de son arbre généalogique, où l’on recherchera de fait plutôt les aspects sociaux liés à ces capacités. Il sera plus difficile d’y lire les drames qui se cacheront derrière les apparences.
Ces éléments dramatiques par contre pourront être mis en évidence assez facilement par le biais des constellations familiales/systémiques.
Cette pratique peut se faire en individuel avec le(la) thérapeute, ou bien en groupes spécialement réunis à cette fin. Cette seconde version comporte de nombreux aspects collatéraux positifs : vivre des moments d’humanisme partagé, découverte de capacités insoupçonnées, approches concrètes de notion fondamentales (temps, espace, vie et mort…), prise de conscience de l’inanité de la posture jugeante…
A mon sens, cette approche, surtout si elle est soutenue par un travail psychocorporel, est redoutablement efficace. Je dis volontiers que 2 ou 3 ans de ce régime valent 10 ans de psychothérapie classique…
- Et que diable viennent faire les Vies antérieures dans ce décor ?
Celui qui écrit ces lignes aurait-il « pété les plombs » ?
A cet endroit il est souhaitable de démythifier un peu le sujet, de l’extraire de la gangue sulfureuse dans laquelle le cartésianisme occidental des « Lumières » l’a relégué.
C’est une notion que l’on retrouve dans la plupart des cultures depuis la nuit des temps, parfois travestie ou enfouie par telle ou telle religion pour satisfaire les besoins de ses dogmes. Ignorer cet élément anthropologique, c’est tragique, car cela nous prive d’un élément essentiel pour inventer librement notre futur : la mémoire de notre passé (individuel et/ou collectif).
Si vous doutez de la véracité de mon propos, observez comment les régimes totalitaires réécrivent l’histoire au seul profit de leurs intérêts, et vous comprendrez immédiatement que Qui prive quelqu’un de sa mémoire en fait un aliéné. Une personne ou tout un peuple.
Je vous parle de mémoire sciemment. Le « secret » de l’accès aux vies antérieures, soigneusement entretenu par tous ceux qui font commerce de servir d’intercesseur entre elles et vous, et donc jamais révélé, est… qu’il n’y en a pas. C’est énorme, c’est pour ça que ça marche !
Aussi étrange que cela puisse paraître, le phénomène de mémoire n’est pas limité à ce que vous avez mangé hier à midi, à ce que vous avez fait lors de vos dernières vacances, appris à l’école ou à l’université. On vous a expliqué qu’il s’arrêtait à la naissance, voire dans le meilleur des cas à la vie intra-utérine. Et vous l’avez cru parce que c’est le point de vue ultra-majoritaire. Et même si vous ne compreniez pas que Mozart ait pu … être Mozart. Et puis même si vous aviez quelques doutes, puisque c’est une vérité vraie,vous avez intériorisé que seules quelques rares personnes pourraient, elles, avoir des perceptions extrasensorielles qui leur permettraient de… percer cette frontière du savoir ! Et accessoirement d’alléger votre porte-monnaie, en renforçant votre crédulité.
Sortons de cette brume ! La réalité, c’est qu’il est très simple d’avoir accès à ses vies antérieures, il suffit d’accepter l’idée que c’est possible. Dès lors, avec une procédure à la fois très simple, et sécure, vous pourrez aller y puiser des multitudes d’informations qui vous permettront de diriger votre vie selon vos souhaits les plus profonds. Cela vous donnera une liberté précieuse, dont vous serez bien inspirés d’user avec discrétion et discernement car elle ne sera jamais prisée par un régime politique quel qu’il soit.
Et pour revenir à la question posée en titre de cette partie du texte :
>> Nombreuses de nos misères prennent leurs racines dans les événements vécus dans ces autres vies…
Une fois qu’on a clarifié les problématiques qui nous entravent (psychothérapies), qu’on a compris ce qui s’est joué dans notre généalogie, avoir accès aux raisons qui nous ont conduit à choisir telle ou telle généalogie nous permet de refermer bien des boucles restées ouvertes, souffrantes, béantes, ou même simplement sans réponse…
Et… de passer à autre chose !
C’est à ce chemin de liberté (et de responsabilité) que je vous convie.
En ces temps de plus en plus troublés, cela relève de l’urgence !
Avec Serge, cet été, nous inaugurerons un nouveau cycle de travail qui intègrera cette dimension mémorielle supplémentaire. Cela viendra compléter ce que je (ou nous avec Michel depuis deux ans), vous propose(sons) depuis bientôt une décennie.
Nous espérons que vous serez nombreux à être tentés par l’aventure.